Comme une note de nostalgie...
Ca va et ça vient. Je pense. Je pense continuer ce blog l'année prochaine, pour garder une trace et vous donner de mes nouvelles ( celles qui seront bonnes seront rares...), si cela a encore un intérêt pour quelqu'un. Parce que là ce n'est pas évident.
"C'est étrange d'être attiré par quelqu'un qu'on ne peut supporter...". J'ai entendu cette phrase, un jour. Et elle m'a fait penser à toi. En effet, c'est étrange. Parce que tu es là quand je m'y attend le moins. Tu me fais douter, me remettre en question, me faire poser des questions et je doute. Ton mystère ne me laisse pas indifférente.
"Ingénue". C'est comme cela que tu m'as appelé, une fois. Tu n'as pas tord. Tu t'inquiètes, pour moi, pour l'année prochaine. Il ne faut pas.
"On verra". Le maître mot. Je suis sûre de rien et toi non plus. Je doute énormément et cela m'angoisse. Mais je ne dois pas, je sais. C'est pour ça. On verra.
Vous me manquez. Les filles, comme je vous appelle si simplement lorsque je parle de vous. Je l'ai répété, je sais, mais c'était tellement bien. Et de toute façon, je ne veux garder que le positif. Lorsque je ne vais pas bien, je me souviens, je me dis : "allez, ju' tu as passé tellement de bons moments, souviens t-en". Je me souviens de beaucoup de choses et je ne pourrai pas les oublier puisque tous ces souvenirs et vous, ont contribué à mon épanouissement, à la compréhension de certaines choses. D'une chose en particulier : les [ vraies ] amis sont indispensables. Et bien sûr, en écrivant cela, je pense à vous. Je n'ai même pas besoin de citer vos prénoms, vous le savez autant que moi, ce que nous avons vécu, éprouvé, aimé. Pour certaines, vous serez loin. Qu'importe. J'espère que rien ne changera malgré la distance. Pour celles qui restent, et bien, je vous dis à très bientôt, et que rien ne change. Passez de très bonnes vacances.
Je vous aime.
"C'est étrange d'être attiré par quelqu'un qu'on ne peut supporter...". J'ai entendu cette phrase, un jour. Et elle m'a fait penser à toi. En effet, c'est étrange. Parce que tu es là quand je m'y attend le moins. Tu me fais douter, me remettre en question, me faire poser des questions et je doute. Ton mystère ne me laisse pas indifférente.
"Ingénue". C'est comme cela que tu m'as appelé, une fois. Tu n'as pas tord. Tu t'inquiètes, pour moi, pour l'année prochaine. Il ne faut pas.
"On verra". Le maître mot. Je suis sûre de rien et toi non plus. Je doute énormément et cela m'angoisse. Mais je ne dois pas, je sais. C'est pour ça. On verra.
Vous me manquez. Les filles, comme je vous appelle si simplement lorsque je parle de vous. Je l'ai répété, je sais, mais c'était tellement bien. Et de toute façon, je ne veux garder que le positif. Lorsque je ne vais pas bien, je me souviens, je me dis : "allez, ju' tu as passé tellement de bons moments, souviens t-en". Je me souviens de beaucoup de choses et je ne pourrai pas les oublier puisque tous ces souvenirs et vous, ont contribué à mon épanouissement, à la compréhension de certaines choses. D'une chose en particulier : les [ vraies ] amis sont indispensables. Et bien sûr, en écrivant cela, je pense à vous. Je n'ai même pas besoin de citer vos prénoms, vous le savez autant que moi, ce que nous avons vécu, éprouvé, aimé. Pour certaines, vous serez loin. Qu'importe. J'espère que rien ne changera malgré la distance. Pour celles qui restent, et bien, je vous dis à très bientôt, et que rien ne change. Passez de très bonnes vacances.
Je vous aime.